La Romance D’Une Nuit Entre Amis

Je terminais une soirée très arrosée avec des amis de l’université. L’alcool avait coulé à flot et plusieurs devaient rentrer en taxi ou à pied. Dans mon cas, je n’habitais qu’à 5 minutes de marche. J’allais quitter quand j’ai compris qu’Amélie n’avait plus d’argent pour rentrer en taxi et un peu trop saoul pour conduire.

-Tu n’as qu’à dormir chez moi, tu reprendras ton auto au petit matin.
-T’es sûr que ça ne te dérange pas ?
-Pas du tout, y’a aucun problème pourvu que tu sois encore capable de marcher!
-Voyons! Je ne suis pas saoule à ce point !

Ainsi Amélie accepta mon invitation. Étant des amis de longue date, mon invitation était sans mauvaise pensée et sans mal entendu. Nous avons salué le reste de la bande qui rentrait en taxi puis nous avons pris le chemin de mon appartement ensemble. Amélie et moi parlions en chemin de tout et de rien et de la belle soirée qui s’était terminée. En un rien de temps nous étions rentrés. Malgré l’heur j’avais encore envie de discuter et de papoter un peu. Amélie accepta mon invitation et nous nous sommes installés au salon avec deux bons cafés. Les discussions ont tourné autour d’Éric un de nos amis qui avait terminé la soirée en embrassant une fille au bar et qui avait quitté précipitamment par la suite. Je trouvais ça drôle, mais je voyais bien qu’Amélie semblait troublée et songeuse.

-Tu sais, on est des adultes et il n’y a rien de mal, je crois, dans ce qu’Éric a fait ce soir ?
-Pourquoi tu me dis sa ?
-Je ne sais pas, tu n’as pas l’aire dans ton assiette ?
-Ah non, c’est pas du tout Éric, C’est juste…non laisse faire, je peux pas dire un truc comme ça.
-Voyons, tu peux tout me dire je suis pas le genre à juger.
-OK, j’aimerais bien moi aussi qu’un gars me drag et finir ma soirée avec lui !
-Quoi !? T’a jamais été cruisée ? Attends…t’es pas encore…
- Non, je ne suis pas vierge! Je l’ai déjà fait une fois ou deux mais ça commence à faire longtemps.

-Voyons, une belle fille comme toi, ça ne devrait pas tarder !
-Une belle fille, tu dis sa, car on est amis c’est tout.

Je regardais Amélie et voyais bien que ce point la tourmentait. Mon regard était posé sur elle et je n’arrivais pas vraiment à comprendre pourquoi les gars ne s’intéressaient pas plus à elle ? Sans être un canon de beauté, Amélie demeurait très jolie. Un léger silence s’était installé et je demeurais ainsi pris à réfléchir.

-Voyons, dit quelque chose, à quoi tu penses ?
-Je me demande simplement pourquoi les gars ne te tournent pas plus autour.
-Bien, voyons ! Je suis grosse ! Les gars ne s’intéressent pas aux filles comme moi!
-Du calme «Amé», tu es loin d’être énorme.
-Non, mais je suis rondelette. Tu ne peux pas dire le contraire.

J’ignorais quoi dire et je tentais de réfléchir. Amélie n’osait plus me regarder et sirotait son café sans rien dire. Amélie était ronde, effectivement…mais comme je le disais, loin d’être obèse. Je l’observais, passant mon regard sur son corps. Aucun double menton, ni gras flasque nulle part. Simplement des formes plus définies !

-Tu es belle Amélie.
-Ah! N’essaye pas de me remonter le moral.
-non, c’est vrai. Regarde-toi. Tu as de beaux cheveux noirs. Un joli sourire et de très beaux yeux.

Soudain, un léger sourire s’est glissé sur le visage d’Amélie, mais disparu bien vite. Malgré mon compliment, elle semblait obstinée à ne pas se voir comme je la voyais. Elle me fit la remarque qu’elle aimait bien son visage, mais que c’était son corps le problème.

-T’as simplement de jolies courbes de femmes bien marquées que les petites anorexiques n’ont pas ! Une fille qui a un peu plus de hanches je trouve ça super sexy !
-Pour vrai ? Tu me trouves sexy ?

Les yeux d’Amélie semblaient mi-timides, mi-fiers de ma remarque. Elle replaça l’une de ses longues mèches de cheveux derrière l’oreille et souris de nouveau sans oser me regarder. Je l’observais et oui, elle était belle et séduisante. Mais je n’osais lui dire…vous savez ses moments où il semble se passer quelques choses et où vous savez qu’une relation peut basculer…la situation était devenue de ce genre. Amélie était pour moi une amie et je ne voulais vraiment pas la froissé en lui avouant qu’elle ne serait pas plus pour moi qu’une bonne amie, une belle relation que je ne voulais pas risquer. Me voyant hésiter, Amélie se leva et se plaça devant moi.

-Ne t’inquiète pas, je ne veux pas sortir avec toi ou rien du genre. Je ne me fais pas d’idées. On est amis et c’est parfait ainsi, par contre. Si c’est vrai que tu me trouves sexy…dis-le-moi! C’est fou en ce moment combien j’ai besoin qu’un gars me dise que je suis belle! Qu’on peut me désirer…
-Amélie, tu es magnifique. Je le pense sincèrement.

Debout devant moi, elle déboutonna alors, un bouton de son chemisier, puis un second. Laissant ainsi à ma vue un magnifique décolleté plongeant. Souffle coupé, je la regardais sans trouver mes mots. De magnifiques seins ronds, mis en valeur par cette petite dentelle noire que portait Amélie sous son chemisier. Les jolies courbes qu’elle me révélait me donnaient des désirs que je ne me connaissais pas. Un ange et un démon se bousculaient dans ma tête. Amélie est une amie, aller plus loin pourrait tout briser dans notre relation. Mais elle est là, devant moi à me montrer ses charmes qui je ne peux plus m’en cacher me font de l’effet. Malgré ma conscience, mes envies peu à peu voulaient prendre le dessus, et c’est à ce moment qu’Amélie me dit :

-Ne t’inquiète pas, on restera que des amis, mais ce soir s’il te plait…fais moi sentir que je suis belle! Demain on oubliera ce soir, mais fait moi vivre ce qu’est, d’être désiré!

Sur ces mots, j’ai doucement posé mes mains sur la courbe divine de ses hanches. Un véritable flot de désir déferlait dans ma tête. Oubliant tout le reste, seul le désir de tous ses charmes flottait dans mon esprit. Elle s’est doucement penchée vers moi, les yeux fermés. Je pouvais sentir le parfum de sa peau mélanger à l’odeur exquise de sa longue chevelure noire et parfumée. Ses lèvres si près des miennes et ce soupir d’hésitation juste avant d’oser l’embrasser. Ses lèvres bougent lentement et je sens cette langue timide, mais terriblement douce qui se poser sur la mienne. Nous nous embrassons longuement, tendrement. Mes mains parcourent ses hanches, ses cuisses et remontent peu à peu vers ses seins sans oser les toucher. Amélie quitte mes lèvres et se relève doucement. Ses mains glissent et caressent ses seins avant de déboutonner complètement son chemisier. Ses mains écartent alors les pans de sa blouse et me dévoilent un corps et des atouts magnifiques ! Un soutien-gorge noir en dentelle retient avec une élégance alléchante ses seins que mes mains désirent soudain tant caresser. Je remonte alors délicatement mes mains de ses hanches jusqu’à sa poitrine. Du bout des doigts, je frôle doucement sa peau, si douce si tendre. J’effleure à peine ces courbes avant de prendre à pleine main ses seins. Amélie laisse aller un long soupire de bonheur et viens de nouveau m’embrasser. Nos lèvres se dévorent avec envies, puis ma belle Amélie retire mon chandail. Elle pause alors, sur moi un regard comme elle n’en avait jamais encore pausé. Je suis moi-même un peu gêné par ce regard poser sur moi. Je sens le désir dans ses yeux. Elle m’embrasse dans le cou et me murmure à l’oreille.

-Si tu savais combien de fois j’ai eu envie de toi. Je ne pensais jamais que je pourrais t’exciter…
- Amélie, tu es vraiment séduisante! J’ai envie de te toucher, de t’embrasser, de te caresser…
-tu as envie de moi ?

Je prends donc sa main et je la guide sur mon torse et je la fais descendre jusqu’à mon sexe. Elle sent sous ses doigts mon excitation gonflée par le plaisir et qui ne demande qu’elle. Ses yeux se figent alors sur les miens, voyant que je ne mentais pas et qu’elle m’excitait totalement. Amélie se mordit les lèvres et m’embrassa de nouveau. Alors que sa bouche goûtait à la mienne, j’ai senti ses doigts qui détachaient mon pantalon. Elle glissa sa main sous mes sous-vêtements et sortit mon sexe qui ne demandait qu’à être caressé par ses mains. Ses mouvements sur mon sexe sont doux et sa bouche qui m’embrasse va peu à peu sur mon cou, puis embrasse mon torse et continue de descendre. Amélie est à genoux devant moi et me regarde assis devant elle sur mon divan. Elle me semble si coquine à me regarder ainsi, à sourire avec gourmandise en caressant mon sexe d’une main. Mon regard doit en dire long sur mes désirs, car elle pose doucement sa bouche sur mon sexe tout en continuant de me regarder dans les yeux. Elle embrasse mon gland, puis passe sa langue sur toute la longueur de ma verge. Sa main continue de me caresser alors que sa bouche prend mon sexe et le suce avec passion. Le plaisir est complètement fou! Je ne tiens plus, elle va et continue sans s’arrêter. Après de longues minutes de plaisir, je n’en peux plus et la préviens que je vais jouir, car j’ignore si le sperme la dégoute. Elle baisse peu à peu la cadence de ses caresses et s’arrête. Elle semble soudain si gênée et ose à peine me regarder, elle qui vient de m’offrir un plaisir si intense. Sans attendre, je l’embrasse à nouveau, et l’aide à se relever. Une fois tous les deux debout, je la fais tourner dans mes bras. Son dos est collé sur mon torse, mon sexe en érection est plaqué contre ses fesses. Je continue de l’embrasser…sur la bouche, sur sa joue, sur son cou. Mes bras tiennent Amélie collée contre moi, alors que je dévore sa nuque de baisé. Je souffle sur son cou et remonte à son oreille. Mon souffle sur sa peau lui provoque des frissons, elle qui a les yeux fermés et qui profite pleinement de mes caresses. Mes mains vont et viennent sur son corps, ses hanches, sa taille, ses seins. Je caresse tendrement ses seins puis détache tranquillement son soutien-gorge. Je fais glisser les bretelles de sur ses épaules. J’embrasse Amélie de nouveau, alors que son haut en dentelle tombe à ses pieds. Mes mains se posent avec légèreté sur sa peau qui est douce et sensible. Ses seins sont maintenant au creux de mes mains et mes doigts caressent doucement la limite sensuelle de ses auréoles. J’embrasse ses jolies épaules maintenant dénudées de bretelle et en profite au passage pour respirer le parfum de sa peau. Amélie a toujours les yeux fermés et passe une main dans mes cheveux, alors que l’autre guide ma main vers son ventre. Nous continuons cette valse de baisés et de caresses, Amélie détache d’une main son pantalon et continu de me guider vers son jardin secret. Ma main suit toujours la seine et se glisse sous le tissu de ses sous-vêtements. Mes doigts caressent tendrement cette zone bien lisse et douce. Je sens peu à peu la courbe humide de ses lèvres et de son sexe. Mon index glisse dans cette vallée de chair et de plaisir. Timide, mais bien là, je caresse ce petit bouton si sensible à mes attentions. Amélie se courbe et soupire de plaisir tant la sensation de ma caresse est appréciée. Doucement, mais tendrement je continue à faire valser mes doigts, ne voulant que son plaisir. Ma bouche est vouée à la sienne et mes mains ne sont là que pour son bonheur. Amélie ronronne à mon oreille à quel point c’est bon. Je continue mes mouvements sur son sexe, mais j’ai soudain envie de plus, toucher ne me suffit plus, je veux voir, je veux goûter, je veux la faire crier de plaisir !

Mes mains relâchent leurs caresses un moment et je baisse tranquillement les pantalons d’Amélie qui sont de trop, ainsi que cette mignonne petite bobette noire de dentelle. Amélie se cambre et frotte ses belles fesses sur ma verge, ce qui m’excite à la folie. Je l’embrasse fougueusement et la pousse sur le canapé. Je vais sur elle et la dévore de baisé. J’embrasse sa bouche, puis descends sur ses seins. Passant ma langue sur ses auréoles et lichant avec gourmandise ses petits mamelons durcis d’excitation. Je sens la main d’Amélie qui me tient par les cheveux et qui me soupire de continuer.

-Continue, embrasse-moi partout !

Elle penche la tête vers l’arrière et je continue ma descente vers ses cuisses que j’écarte peu à peu. La vision de son jardin secret est divine, de belles lèvres roses et trempées par l’excitation. Je pose ma langue sur sa cuisse et glisse tranquillement vers sa jolie chatte qui n’attend que mes douces attentions. Timidement ma langue se pose sur sa fente et je goût Amélie pour la première fois. La saveur est légère et délicieuse. Je plonge dans un plaisir et je liche avec appétit son sexe, sentant ses jambes se refermer à chaque contact. Amélie gémie au délice que je lui offre à mon tour et moi qui savoure pleinement ce moment délicieux. Je liche chaque parcelle de peau avec une passion dévorante. Bien vite Amélie gémit plus fort, ses cuisses se resserrent, son corps se cambre vers l’arrière et sa main m’oblige à ne pas m’arrêter. Elle jouit, je le sens et prend autant de plaisir qu’elle à lui offrir autant d’extase. Sa main glisse dans mes cheveux et m’incite à remonter. Je l’embrasse partout sur mon passage et remonte à sa bouche. Notre baiser est long et quand nous nous arrêtons, le regard d’Amélie se fige dans le mien.
-Mmmm fait moi l’amour !

Je guide alors Amélie vers ma chambre. J’admire son corps magnifique, ses hanches généreuses, ses seins volumineux et cette taille plus forte, mais si harmonieuse avec le reste de son corps qui me plait vraiment. Elle s’allonge dans mon lit et me regarde avec soudain une légère gêne dans les yeux, elle doit avoir remarquée mes longs regards que je porte sur ses charmes. Elle a ce petit sourire gêné, mais si espiègle qui me fait littéralement craquer. Je m’accroupis au pied du lit, embrasse ses pieds, remonte en caressant ses jambes et en la couvrant de baisé. Je prends ses seins à pleine main et embrasse Amélie avec passion. Mon sexe est maintenant si près du sien. Je sens mon gland qui frôle l’entrée de son sexe humide et détrempé par l’excitation. Après un long baisé, mon regard se fige dans celui d’Amélie et je la prends. Mon sexe glisse doucement entre ses lèvres charnues. Son souffle s’arrête un instant, comme si une vague de sensation déferlait sur son corps. Ma verge est maintenant complètement en elle. Amélie échappe quelques cris de plaisir alors que je commence à lui faire l’amour. Un véritable délice, mon sexe qui va et vient. La chaleur de son corps, ses lèvres tendres qui se resserrent à chaque passage sur ma verge. J’en perds la tête tant le plaisir est intense. Les minutes passent et nous partageons un plaisir que jamais je n’aurais cru partager avec Amélie. Je l’embrasse, je respire profondément le parfum de son cou. Mes doigts glissent dans ses longs cheveux noirs. Nos corps se frottent l’un sur l’autre dans cette danse d’érotisme et d’extase. Soudain je sens les ongles d’Amélie se resserrer sur ma peau. Ses hanches se soulèvent légèrement alors que mes mouvements se fond de plus en plus fort. Respiration saccadée, yeux fermés, Amélie me tient entre ses cuisses et cris de plaisir ! La voyant prendre autant de plaisir je ne peux me retenir davantage et jouis avec elle. Le temps se fige un instant…Une minute qui dure une éternité. Mon regard qui admire Amélie prendre autant de plaisir que moi, nos corps qui ne font plus qu’un. La suite est toujours de plus en plus douce. Nos mouvements ne sont plus que caresses et enlacement. Je l’embrasse doucement et me retire d’elle. Je caresse de nouveau son corps que je ne pensais jamais connaitre ainsi. Les moments ne sont que tendresse par la suite. Une nuit d’exception pour deux amis. Puis avant de nous endormir, Amélie me dit au creux de l’oreiller…

-Merci de m’avoir offert cette nuit.

Fin